Une banale histoire de pirate

Les yeux du marin se mirent à luire de plaisir anticipé. Il n'aurait jamais cru qu'il serait un jour à pareille fête.


Néanmoins, méfiant, il regarda Jacquotte.

"Oh oui ça me va. Mais c'est pas un piège hein ? Sérieux ?"

Il se leva. 

"Je parle après le paiement."

A moitié soûl, pas frais, voire crasseux, mais pas idiot celui-là. Il faudrait peut-être quand même lui donner le bain avant, afin d'éviter les éventuelles maladies...

Mais quelle bonne idée mon bon narrateur inspirateur

" Un piège? Ai-je eu vraiment le temps d'organiser un piège? Et si on peut travailler en prenant un peu de plaisir, on ne dit pas non. Nous naviguons depuis des lunes, alors tu comprends que nous sommes comme une bombe hormonale à retardement."

Jacquotte aida l'informateur à se relever. Les filles l'entourèrent à le caressant de partout puis sortirent. Tout ce petit monde prit la ruelle emmenant derrière la taverne. Contre le mur, un grand tonneau d'eau et les poubelles. Le lieu était bien crade et sentait le poisson pourri.

Les filles plaquèrent le petit veinard contre le mur et se frottèrent sur lui. Il était seul face à une horde de filles excitées.

Jacquotte s'infiltra dans la mêlée, elle sortit sa belle langue devant lui puis lui fit un croche-patte pour le déséquilibrer et le poussa immédiatement dans le tonneau d'eau. 

Les filles le maintenaient bien. Un coup la tête dans l'eau, un coup hors de l'eau, un coup dans l'eau, un va et vient incessant.


" Alors mon gros. Parles ou tu mourras dans ce tonneau".

En le maintenant bien par les cheveux, aidée par ses copines, elle lui susurra à l'oreille

" J'en ai marre des pervers dans ton genre. Sois chanceux, j'aurais pu bouffer ta pine. J'excelle dans ce domaine"

Elle lui remit la tête dans l'eau.

L’homme cherchait à reprendre son souffle et demandait grâce entre deux immersions.
 

« D’accord ! Je vais… Je vais… parler… Mais arrêtez. S’il vous plaît ! Arrêtez… »

L’homme se laissa tomber, trempé et essoufflé, maintenu debout par les bras musclés des marines.
 
« Ca oui, il crache…
- De l’eau ma Jacquotte, de l’eau ! 
- Et bientôt d’la bière si on continue… »
 
Les filles s’esclaffèrent et l’homme lança un regard peu amène à Jacquotte.
 
« J’ai proposé plein de paiements. Tous n’étaient pas sexuels. T’as pas de parole. »
 
Les femmes grognèrent et firent mine de le remettre dans l’eau.
 

« D’accord ! D’accord. Il s’est passé un truc pas net avec ces deux bougres. Et les infos qui circulent disent que c’est Hannibal qui a lancé la rixe avec Billy et sa clique. Deux types il a engagés. Un gros affreux et un p’tit vicieux. Cherchez le p’tit. Y s’appelle Hernan. »

L'homme toussa.

"Hernan ? Je sais pas. Cherchez, y doit pas être impossible à choper, il écume les bars."

Il reprit sa respiration. Il commençait à se calmer, tout détrempé et les cheveux et la barbe dégoulinants.

"Hannibal était au Repos du Marin la dernière fois que j'en ai entendu parler."

Elle lâcha le bon sers à rien et s'adressa aux filles

" Dispersez vous dans la ville, on va les trouver"

Elles déguerpirent laissant le bonhomme seul à côté du tonneau. La prochaine fois il donnera l'information gratis à une belle pirate (c'était la morale de l'histoire )

[Je comprends plus. Jacquotte est au Repos du marin ou à l'auberge où il y a eu la bagarre ? Parce que ce ne sont pas les mêmes établissements...]

Aouch fuck il faut que je change. Donc je suis au rat lubrique et le repos du marin c'est quoi? Pourquoi l'autre m'a parlé du repos du marin.

[Hé ! Le bon sers à rien comme tu dis sert finalement à quelque chose. Tu n'as pas modifié ni payé le bonhomme (enfin ça, c'est p-e normal, mais faut le mentionner ^^]

Après avoir laissée seul le bonhomme (Post modifié, voir un peu plus haut) Jacquotte questionna les pêcheurs. Avec leur allure de grosse brute, c'étaient des véritables commères. 

Si ceux-ci s’avérèrent pour la plupart comme Jacquotte l’avait ressenti, à savoir bavards, il ressortit rapidement de leurs conversations que ledit Hernan n’existait pas.
 
Avec persévérance et méticulosité, les femmes apprirent néanmoins par recoupement le nom de celui qui avait été identifié comme l’affreux maigrelet que Hannibal avait engagé : Caul.
 
Elles se mirent donc à la recherche de cet homme. Celui-ci s’avéra bien difficile à trouver, chaque question suscitant la méfiance des interlocuteurs. Cependant, quelques sourires, pièces d’or échangées et tournées offertes menèrent les marines à une planque mal famée.
 

Des bruits d’échauffourées, des cris et des chocs sortaient de la bâtisse dont la porte était gardée par deux sicaires plutôt impressionnants.




 Apparemment, elles n’étaient pas les premières sur les lieux…

Sans aménités, les deux malabars se resserrèrent un peu.

"Caul ? C'est qui ça ? Y a pas de Caul ici."

Méfiants et soupçonneux, les gars laissèrent Jacquotte s'éloigner. Lorsqu'elle fut hors de vue, l'un des deux frappa à la porte. Celle-ci s'ouvrit sur une homme du même gabarit.

"Une bonne femme vient de venir demander après Caul. Puis elle s'est barrée en disant qu'elle s'était trompée.
- Ah ouais ? Et alors ?
- Ben rien. On nous a dit de transmettre, on transmet.
- Ca va. Je transmets aussi."

Le porte se referma. 


A l'intérieur, l'homme prévint son comparse qui informa les autres. Tous au courant et déjà sur leurs gardes, ils ne modifièrent rien à leur comportement. Tout était à leurs yeux aussi sécurisé que possible dans un espèce de hangar pourri dans les bas-fonds du port...

[HRP : Je vois bien un vieux hangar en bois, situé dans un ancien complexe de hangars du même type. Du bois humide dans une ambiance plutôt vermoulue (même si tout reste encore solide) due à la proximité du port et de la mer.
 
Le hangar en lui-même serait grand (50m x 30m ?) avec peu de murs intérieurs et aussi peu de fenêtres (pour la plupart brisées). Il y aurait un sous-sol et un étage mansardé. Le toit n’est pas en parfait état mais bien évidemment, le souci avec ce type de bâtiment est que les planchers et les échelles grincent…
 

Je te laisse le soin de mettre et décrire le tout à ta sauce, tu veux bien ?  ]

Les sicaires regardèrent Tasha s’avancer sans s’alarmer. Mais sa question sembla les agacer, bien qu’ils n’en montrent rien.
 

« Y a pas de Caul ici. Passe ton chemin, c’est pas un quartier pour les jeunes filles, c’est dangereux… »

Entre-temps, ils avaient prévenu leur compère de la même façon que précédemment.


Voyant arriver la troisième femme, ils commencèrent à perdre patience.

"Non, on voit pas. Allez. Dégage !"

A nouveau, les hommes firent leur rapport à leur confrère. Ils commençaient à trouver ça louche.

"Demande si on doit faire quelque chose.
- D'accord. Je transmets."

L'homme transmit, mais aucune consigne ne lui fut donnée. Il n'en transmit donc aucune et les malabars continuèrent leur veille.

"J'aime pas ça.
- Moi non plus.
- T'imagine, si quelqu'un s'amène avec une arme de jet ?
- Ouais. C'est le métier...
- Ouais. Mais j'suis pas obligé d'aimer...
- Non."

A l’intérieur…
 
Les ruffians commençaient à perdre patience. Caul n’avait pas leur argent. Alors ils le battirent. Encore et encore. Durement. Salement.
 
Le marin était dans un sale état quand ils le laissèrent enfin respirer, gémissant, crachant des dents, en sang, suppliant, pleurnichant, avili au plus bas, ayant fait sous lui et vomi sur lui.
 
« Tu as deux jours de rab’. Deux. Sinon on revient et on tue ta famille, tes amis, la famille de tes amis, puis seulement après, quand tu auras tout bien vu, on te torturera puis quand on en aura marra, alors seulement tu pourras mourir. »
 
L’homme shoota dans le visage du maigrelet couché dans la poussière et le sang.
 
« Compris ? »
 
Caul ne put même pas répondre et resta là, prostré, fracassé, anéanti.
 
Les malfrats partirent enfin, le laissant gésir dans ses déjections.
 
Dehors…
 

Au bout d’une bonne heure supplémentaire, une troupe d’hommes sortit du hangar et s’en alla, accompagnée des malabars. La voie semblait enfin libre…

Deux filles qui faisaient parti de l’excursion avec Jacquotte rejoignirent sa couche vu qu'elle était en vadrouille. Dans la chambre les deux filles se caressèrent, l'une d'elles passa sa main sous sa robe pour enlever sa culotte qui étaient en coton et puis commença à effleurer son bouton de rose. Au même moment, l'autre fille sortit les seins du corset de sa copine puis les embrassa, les lécha et les suça. Les deux filles basculèrent sur la couchette, une la masturbait avec deux doigts puis trois puis quatre pendant que l'autre glissa son index et son majeur dans sa bouche. La fille retira  les doigts de sa compagne de sa bouche et ses doigts dans son intimité pour aller la lécher. Le goût de sa mouille l'excita pendant que son amie se tortilla sous le plaisir. Elle écarta un peu plus ses cuisses et prit la tête de son amante avec sa main pour enfoncer un peu plus sa langue.

"Enfonces moi encore tes doigts" haleta t-elle
Son amie s'exécuta. Tout en mordillant son clitoris, elle enfonça deux doigts.
Essouflée, elle la guida
" Enfonces les"

Le plaisir vint rapidement pour la jeune pirate. Elle prit l'oreiller et le mordit pour ne pas réveiller les autres filles. Son corps s'enflamma et enfin! l'orgasme!
Elle lâcha l'oreiller, lui sourit et la fit soudainement basculer sur le côté. Elle l'attrapa pour la mettre à quatre pattes. Elle enfonça à son tour ses doigts dans son intimité déjà bien trempée. Elle lui tira les cheveux pour la cambrer.
" J'ai envie de t'entendre jouir" dit-elle doucement
Elle inséra trois doigts en elle tout en tirant ses cheveux et en lui donnant des petites claques sur les fesses de temps en temps.
La jeune femme se laissa aller et cria dans les draps.

Les deux femmes s'écroulèrent sur le lit et s'endormirent, épuisées et apaisées.

Les hommes étaient plus brutaux, leur mains étaient plus puissantes, plus dures... Les femmes, elles, avaient cette douceur qu’elles ne retrouvaient qu’entre elles.

(Hrp : merci de nettoyer et ranger ma cabine )

Sur le ponton,Alvilda remarqua qu'il y avait beaucoup de Drows . Les gens n'avaient pas l'air de s'en soucier mais pas elle. Habituellement elle ne les apercevait pratiquement pas.
Elle demanda à son équipage de préparer les canons . . . Au cas où....

Alvilda rejoignit le pont en portant ses cartes avec elle et cria pour que toutes les filles entendent.
" Nous avons trouvé l'emplacement du repère sur l'île mais je ne sais pas où ce trouve cette fichue île. On va faire le tour du monde et inspecter toutes les îles"