Le couvent de la miséricorde

Il fallait quand même avouer que les sœurs du couvent possédaient tout le matériel nécessaire des meilleurs hôpitaux. Rajouté à cela leur savoir faire, et forcément, elles obtenaient de bien meilleurs résultats que tous les toubibs des rues, même avec leur bonne volonté. De plus, elles ne se laissaient pas distraire par les nouvelles technologies et les techniques innovantes. Elles préféraient se contenter du bon sens et d'utiliser des méthodes éprouvées, comme par exemple l'imposition des mains ou quelques bons petits sorts de guérison, et oui çà du bon les dieux miséricordieux. Les poisons, les maladies, les blessures n'avaient que très peu de secrets pour elles.

L'homme soigné dans une chambre isolée reprit connaissance, lavé de toutes les toxines qui avaient affaibli son corps. Il ne savait plus ni où il était, ni combien de jours s'étaient passés ... mais il profitait d'être bien traité pour ne pas poser de questions inconvenantes. Il avait bien remarqué que sa présence était tenue au secret, et que la pièce où il demeurait était constamment fermée mais il n'y avait aucun geste ni aucun regard menaçant de la part des sœurs hospitalières qui s'occupaient de lui, ni des sœurs gardiennes qui le surveillaient de loin alors il se laissait faire.

Cependant, il remarqua une jeune femme en particulier, qui lui semblait toujours triste. Par certains aspects, elle lui rappela Jézabel. Il se prit de mélancolie lui aussi.

En lui même, il se mit à penser ...

Oui enfin soyez indulgentes hein ? Je reviens d'une longue maladie, j'ai failli y passer, je suis encore fatigué ... alors faut pas se fier à son aspect tout mollasson là ... hein ? il sait faire mieux si on lui laisse le temps ...

Bon ... je fais quoi moi ? Si je fais du bruit, la gardienne va débouler et non seulement elles vont prendre un savon mais avec mon bol, moi aussi ...

J'ai pas envie de me faire virer d'ici pour atteinte aux bonnes mœurs ... je sais même pas où c'est ici d'ailleurs ...

Continue à faire l'inconscient mon grand ...

Il essaya de résister tant qu'il put mais les mains allaient trop vite et trop fort.

Après de longues secondes de résistance, arque-bouté sur ses muscles, il finit par lâcher la pression et tout se mit à sortit par gros jets. La jouissance le secoua et il ne put échapper un soupire. Paniqué, il joua la carte du mec réveillé en sursaut.

"Hééé ... Hein ? .... Mais ?!? ... c'était pas un rêve ?? ... Héé !! Mais qui vous êtes ? ... Qui m'a ?? ... Regardez ! J'en ai partout maintenant ! Ah bravo ! C'est malin ! Vous faites çà souvent sans demander la permission ? Et qui va nettoyer maintenant ?"

Feignant l'innocent ...

"Euh ... si je dormais ... mais c'est le genre de choses qui ... qui réveille quoi !

Mais ... on est où là ? Et vous êtes qui ?

Parce que ... voir ... voilà ... vous avez vu ... mais pour en revenir à ma question ... qui va nettoyer maintenant ?"

Gaby se frappa le front avec la paume de sa main.

Mais où je suis tombé moi là ...

"Bon ... alors ... d'abord ... dites moi où on est, et qui vous êtes s'il vous plait ... après on verra pour le reste ...

Mais c'est sûr que si on ne s'occupe que de mon manche, la fille ne prend pas de plaisir ... forcément ..."

Moi qui me contentait très bien des filles de Dame Jézabel, me voilà entouré de 3 novices ... à bravo ! C'est marrant, la dernière chose dont je me souvenais, c'était de souffrir le martyre dans la planque avec le toubib de Venec ... je ne comprends plus rien ...

"Le but final c'est que le manche rentre dans votre ... enfin vous voyez quoi ... mais ya moyen de vous amuser seules sans manche aussi ! Et si ..."

Des bruits de pas dans le couloir commencèrent à se faire entendre ...

"Oh flûte la revoilà déjà ...
Vite on file !
On va se faire repérer !
Aller ... viens !
Bon ben à plus monsieur !
Euh oui à plus mes de ... T'es pas censée suivre tes amies là ?
Hein ? oh pardon, je rêvais ...
Trop tard, tu vas t'faire griller ! File sous le lit !"

Les 2 autre novices étaient parties à temps mais la 3ème avait tardé. Il la poussa pour qu'elle se cache sous le lit juste à temps lorsque le pas sûr et pesant de la gardienne passa devant sa porte.

"Parce qu'il appréciait ce que tu lui faisais ... tout simplement !"

Comme elle était debout à côté du lit, il lui fila une petite tape amicale sur le postérieur.

"Aller ... file avant de te faire pincer par la patrouille !"

"Oui mais dans un couvent ... on n'est pas censé ... enfin tu vois quoi ... pas le faire du tout ?"

Ah ben bravo ... me voilà bien tiens ...

Comme elle restait à coté du lit, empotée, il se contenta de lui caresser la jambe, remontant la cuisse, puis la fesse ... juste pour voir comment elle réagirait.

Gaby commença donc à la caresser, remontant entre ses jambes. Il essaya de stimuler certains endroits, histoire de voir ce qui la ferait réagir au mieux pour qu'elle puisse le refaire ensuite seule.

Il se redressa et profitant de sa position à elle, il commença à jouer de sa langue et de sa bouche pour la faire réagir un peu plus ... difficile patiente que celle là.

Pour l'heure, il sentait qu'il aurait beaucoup de pain sur la planche avant de la mettre à niveau, alors il se concentra sur son plaisir à elle, laissant le sien de côté.

Il ferma les yeux sous l’action de ses doigts et très vite le ventre de la fille fut couvert de substance nacrée. Elle rit doucement. Elle apprenait vite la bougresse ! 

"Hé mais c'est que t'es en forme toi ! Moi par contre tu m'excuseras, mais je suis encore en convalescence ... et là ... je sens que j'ai les batteries à plat ... alors je dis pause pour ce soir ! En plus on va finir par se faire griller !

Lorsqu’il se réveilla le lendemain, il s’aperçut que c’était la jeune femme triste qui s’occupait de lui. Elle remarqua qu’il était éveillé et posa la main sur son front. Elle était fraîche comme la rosée du matin.  

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"Euh merci ! Je vous remercie de m'avoir soigné ! Je croyais moi aussi que mon heure était venue ! Mais vous m'avez guéri du poison ! Je ne saurais comment vous remercier ! Mais comment suis-je arrivé ici ?

Oh pardon je manque de politesse, d'abord, permettez-moi de me présenter, je me nomme Gaby, et vous ?"

(Et toc, voilà, les infos que ne m'ont pas données les autres filles, elle va me les donner elle, à commencer par son nom et pourquoi elle a l'air tout le temps triste comme çà)

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"Ah oui quand même ... en même temps, je n'avais pas qu'à pas poser la question ... beurk ... Enfin bon ... au moins, je suis sauvé, c'est déjà çà !

Ah bravo ... (il rit de lui-même) ... N'empêche, je préfère vous voir rire, parce que l'autre jour, j'ai trouvé que vous m'aviez l'air bien triste !"

"Hé bin mes aïeux ! Je reviens de loin moi ! En tout cas je pète le feu !! Faudra vraiment que je retrouve mon bienfaiteur et que je le remercie ! C'est pas pour lui jeter la pierre, mais le toubib de Venec, il m'aurait pas sauvé ... Bin du coup, si c'est pas Venec, qui m'a ramené ici alors qui ?"