Le couvent de la miséricorde

*Ah oui en effet ! Et rien dessous évidemment, elles ne sont pas venu ici pour un cours de latin !*


Il s'approcha entre elles et posa une main sur les hanches des 2 extérieures tandis qu'il déposait un baiser sur la bouche de celle au centre.


Ses mains glissèrent rapidement entre leurs cuisses et vérifièrent dans quel état elles étaient.

alors il commença doucement à fouiller, alternant de l'une à l'autre, jouant de doigté pour être le plus doux possible.


Il les manipulait comme on joue avec les touches d'un clavecin pour varier les sonorités.


Il leur caressait les seins aussi, pour les stimuler à leur tour.

"Les filles, vous voulez bien faire comme l'autre fois, sur le lit ? Mais là, on le fait debout, enfin moi debout ... aller, à genou s'il vous plait ! "


Il attendit que son auditoire soit en position, et il dressa son membre devant elles.




"Aller, s'il vous plait ... prenez en soin !"

"Ah oui pas mal, c'est çà ! bien ... oui voilà ... vous vous débrouillez très bien ... continuez comme çà ..."


Il leur caressait les cheveux à tour de rôle.

Il ne tiendrait pas assez longtemps pour la deuxième option, mais quitte à gaspiller ...


"Attention les filles, petit test de goût !"


Il attrapa un visage et glissa doucement le gland dans sa bouche avant de décharger. Après 3 grands jets, il sortit tout aussi doucement.


"Si vous voulez goûter, partagez vous le, ou sinon recrache, comme tu veux !"


Il se recula un instant.

Gaby tint doucement la tête de celle qui le finissait, le temps de reprendre ses esprits.

"Bien ... il est temps de passer à l'étape supérieure, laquelle veut tenter en premier ?

Direction, le lit ! "

La fille à genoux devant lui se redressa et les deux autres s’enflammaient dans leur baiser de plus en plus passionné, laissant courir leurs mains sur le corps de l’autre.
 
« Je crois que c’est moi du coup ! » sourit la jeune fille.
 

Elle sauta sur le lit et s’y allongea sans chichi ni cérémonie.

"Prête ? "

"Cà ira mieux dans un instant même si pour le moment çà fait mal ! "

Il l'embrassa en lui filant 2-3 tapes sur les fesses.


"Une autre veut essayer ? "

Bien entendu, les deux autres se dégagèrent l'une de l'autre pour se présenter à Gaby.

"Si ! Bien sûr !"

"Pas plus d'une à la fois, non mais oh, qui se dévoue ?"

Elles se départagèrent au chifoumi… (!)
 

Et celle qui resta sur le carreau rejoignit la première déflorée tandis que l’élue s’allongeait sagement sur les draps désormais tachés de sang…

Il se retourna allongé sur le dos, reprenant son souffle ...

"Bien ... tite pause et je serais prêt pour la troisième ..."

« Il a joui ?
- Non. Enfin, je ne crois pas…
- Mince ! Il doit jouir aussi…
- Vous avez peut-être mal fait un truc les filles.
- Tais-toi ! Tu ne sais même pas de quoi on parle.
- Mais je vais savoir…
- Ouais, tu vas même savoir très vite…
- Hi hi hi… »
 

Les deux déflorées poussèrent leur amie au sol et les ébats reprirent sous les yeux de Gaby. Ce spectacle lui rendit bien vite ses forces…

Il s'approcha et se prit en main, activant assez vite.

"Vous agitez pas comme çà ! vous aller avoir droit à une douche, çà va vous calmer vous aller voir !"

Il se lâcha, répandant sa jouissance sur leurs têtes.

*Vous inquiétez pas les filles, je me contrôle mais évidemment que j'ai envie de jouir aussi ... je fais juste attention, c'est tout !*

"Bon ... il en reste une il me semble qui n'y a pas goûté ? ... d'ailleurs, vous pourriez me la nettoyer avant qu'on reprenne ?"

Chose faite en quelques instants, la troisième « volontaire » prit place sur le lit en écartant bien les cuisses. Son sexe était plus que suintant d’envie et ses deux amies se présentèrent autour du lit, prêtes à participer avec Gaby à la prise de conscience de la jeune femme.
 

La douche dont elles venaient d’être les cibles semblait avoir amené les filles à un niveau supérieur de désir…

Il commença par un rythme doux mais intense pour qu'elle y prenne le plus de plaisir avant de commencer à accélérer au fur et à mesure.

Il ne fallut pas très longtemps pour que le désir de la jeune fille reprenne le dessus sur l’éphémère douleur. Elle croisa les jambes autour de la taille de Gaby en l’enserrant dans l’étau de ses bras, gémissant sourdement sous ses assauts.
 
Les comparses vinrent alors participer à la défloration de leur amie. La première s’approcha de leurs visages et partagea de langoureux baisers avec eux. L’autre monta sur Gaby, s’appuya contre ses fesses et accompagna ses mouvements de coups de bassin en rythme. Il pouvait sentir frotter contre ses fesses la toison pubienne de la fille.
 
Chacune lui prit un bras, l’empêchant de se maintenir sur le lit et il se retrouva complètement couché sur sa partenaire, sans appui.
 

Le plaisir montait rapidement, il était coincé…

*Hé ! Euh, elles font quoi là ?*


"Hé ! Vous pourriez me lâcher les bras là ? Oh ! Je ne contrôle plus grand chose là !"




*C'est pas le moment que çà monte trop vite !*

*Ah les bougresses ! C'est quoi ce piège ?*


Il ne put se retenir plus longtemps et se répandit en elle, plus contrarié que soulagé finalement.

Une fois lâché, il roula sur le côté.


Il reprit son souffle.


"Alors ... cela vous va-t-il ? Contentes ?


Par contre, vous m'avez ruiné les draps ! "

Les filles gloussèrent. Elles examinaient la semence qui suintait du ventre de la dernière proie de Gaby.
 
« Contentes ? Oui et non. On veut notre écot nous aussi… »
 
La porte s’ouvrit à la volée et claqua contre le mur.
 
« QU’EST-CE QUI SE PASSE ICI ? »
 

Deux gardiennes, ainsi que la mère supérieure venaient de faire leur apparition…

Il essaya de se couvrir comme il pouvait avec ce qu'il pouvait.

"Euh ... bon .. bon ... bonsoir M'dame la patronne ... euh ... j'peux vous ... expli ... quer ... ou pas ..."

« VOUS TROIS ! DANS MON BUREAU ! KALINDE, ESCORTE-LES ! »
 
Les filles penaudes furent prestement sorties de la chambre de convalescence tandis que la mère supérieure fulminait. Elle regardait Gaby sans ciller et si ses yeux avaient pu tuer, à cet instant il serait mort.
 
« Vous… SILENCE ! Etre un protégé du Seigneur Vildrek ne vous donne pas tous les droits ! Vous venez de briser trois vies… Vous partez demain. »
 

Elle quitta la pièce sans un regard de plus, suivie de la garde. La porte claqua comme un glas aux oreilles d’un Gaby abasourdi.

"Hein ? briser ? mais euh c'est pas moi qui ...


Oh merdasse de merdasse !"

Il se rhabilla en faisant les cent pas.


...


Mais du coup, çà fait que je dois une faveur au Seigneur pour m'avoir sauvé la vie ? *

Gaby grimaça.

Alors que l'aube pointait, deux gardes se présentèrent dans la salle de convalescence.

"Notre Mère Supérieure a décidé que tu ne partirais que demain. Un convoi en direction de Castellac part demain. Tu y seras adjoint. En attendant, tu es confiné ici. Tu as assez fait de dégâts."

"Ben en même temps, depuis que je suis ici, je n'ai pas bougé de cette pièce en fait !

Mais euh ... oui ... enfin je ne pensais pas que ... Oh et puis zut !

Oui voilà, je partirais demain ... "

Il retourna s'asseoir sur son lit.

"Qu'est-ce qui lui arrive au bonhomme ? Il est pas content ?"

La femme s'approcha de lui, l'expression indéchiffrable.

"Moi ? ... Rien ... Qui a dit que je n'étais pas content ? Je comprends que ma place ne soit pas ici ! "

Il se demandait si les questions de la garde étaient du lard ou du cochon, s'inquiétait-elle ? ou essayait-elle de le provoquer pour se trouver une excuse pour le rosser ?

Elle ricana.
 

« Ca c’est sûr, tu n’es pas à ta place ici. Sais-tu seulement où tu es ? Et comprends-tu pourquoi ce que tu as fait est si grave ? »

"Où je suis, il me semble que j'ai saisi oui ...


Pourquoi c'est si grave, non, je ne mesure pas exactement pourquoi ! "

"Ouais... Bien sûr que u ne comprends pas... Ici, tu es au Couvent de la miséricorde, dédié au Miséricordieux Azzerath. Et dans un couvent, ilo y a des nonnes. Et les nonnes font... je te le donne en mille... voeu de chasteté ! Et toi tu as défloré trois TROIS ! prétendantes. Trois filles en qui la mère supérieure, et les autres soeurs, ont investi du temps en formation et en espoirs. Et tu as tout balayé de quelques coups de queue ! Tu ne pouvais pas te contenter d'une de nous ? Les gardes n'ont pas fait voeu de chasteté, même si aucun homme, sauf exception - et quelle exception, je me demande pourquoi tu es là - n'est autorisé en ces lieux."

La garde s’interrompit puis le regarda avec un nouvel œil.
 
« Tu as oublié d’être bête toi… C’est peut-être possible, faudrait en parler à la mère supérieure… Mais ce ne serait que physique. Finalement une forme de triche. Mais ce n’est pas moi qui décide. Espérons que tu n’aies pas joui en elles… »
 
Elle se tourna vers sa collègue.
 
« Va prévenir la mère supérieure, tu veux ? Je m’occupe de lui… »
 
L’autre femme quitta la pièce sans un mot.
 
« Enfin seuls. »
 
La garde s’assit sur le lit à côté de Gaby et se tourna vers lui.
 

« Tu sais depuis combien de temps je n’ai pas vu d’homme ? »

*Olà mais c'est quoi ce couvent ? Elles ont quoi toutes ?*


"Euh ... non ... combien de temps ? Vous n'avez pas de permissions de temps en temps ?"

"Trop longtemps ! Et pour répondre à ta question, si bien sûr, mais on n'a pas le temps de revenir à la cité, donc on reste cantonnées dans le coin et tu as vu la morne plaine..."

Elle le détailla des pieds à la tête.

"Je m'appelle Gwenda."


Une femme fière et volontaire, qui savait ce qu'elle voulait, à n'en pas douter...

"Et moi Gaby mais on a déjà dû sûrement te le dire !"

Il la détailla aussi mais entre un mec a moitié caché sous un drap et une femme en armure, çà n'est pas pareil.

Elle le regarda en souriant, puis tâta son biceps.

"Tu as de l'avance sur moi. On a un moment devant nous, mais je doute que tu sois encore capable de grand chose..." 

Elle remonta langoureusement ses mains le long de sa chemise pour attraper ses seins et les caresser doucement.

"Enlève ce drap que je vois si tu peux être utile..."

Elle lui adressa un clin d'oeil égrillard et amusé.

Bureau de la Mère Supérieure

Trois femmes étaient en pleine discussion. Soeur Martha, Soeur Jennane et la Mère Supérieure, Mère Adolinde. En retrait, assise sur une chaise inconfortable dans un coin sombre de la pièce se trouvait Soeur Anna, uniquement présente en raison de son imminent départ mais nullement conviée à prendre part à la discussion de ses supérieures.


La Garde venait d'apporter l'information suggérée par Gaby et elle suscitait un débat animé. La Mère Supérieure laissa un moment ses secondes exposer leurs arguments puis trancha :

"En réalité, le problème ne se pose pas physiquement. Nous avons accueilli des novices de tous âges et de toute provenance. Certaines étaient mères, parfois même en passe de la devenir. L'important est la pureté des voeux qui sont prononcés lors de la Cérémonie d'Acceptation. Le reste importe peu."

Les Soeurs s'insurgèrent immédiatement. Mère Adolinde leva la main pour ramener le calme.

"Ces filles sont jeunes. Qui plus est des novices. Il n'est pas ici question de transgression de voeu. Il est seulement question de désobéissance aux règles.
- Mais...
- Ma Mère...
- Non. Elles seront châtiées, normalement, comme quiconque ayant transgressé une règle primordiale de notre couvent. Nous leur proposerons, comme à chaque fautive, une possibilité de contrition. Il ne faut pas oublier que ces jeunes filles nous ont été confiées alors qu'elles étaient bien jeunes et qu'il est difficile à la jeunesse de ne pas céder à la curiosité, quelle qu'elle soit. 
Cependant, nous leur proposerons un choix sans précédent étant donné les circonstances : partir ou rester. Et celles qui resteront en sachant ce à quoi elles renoncent feront par cet acte une preuve de foi incroyable."

Les Soeurs acquiescèrent, sachant effectivement d'expérience ce que voulait dire Mère Adolinde.

"Soeur Anna, je voudrais solliciter une faveur de votre part. Etant donné votre départ après-demain, je vous serais reconnaissante de prendre dans votre escorte les jeunes filles qui désireraient quitter notre couvent."

Soeur Anna se leva avec déférence, tête inclinée.

"C'est avec grand plaisir que j'accepte votre requête ma Mère, bien qu'à mes yeux il ne soit question que d'apporter aide et soutien à mon prochain.
- Merci ma fille.
- Dans le même ordre d'idées...
- Oui ?
- Si vous me permettez...
- Oui mon enfant ?
- L'homme.
- OH ! 
- Quelle impudence !
- Silence toutes les deux ! Continuez, Soeur Anna...
- Eh bien... Il ne me semble pas charitable de le mettre dehors ce matin, étant donnée l'insécurité actuelle. Seul, même en bonne santé et armé, survivre par ici relève au mieux d'une bonne connaissance de la région et d'une part de bienveillance de notre Très Aimé Miséricordieux...
- Puisse-t-Il guider nos routes... répondirent les trois à l'unisson
- Aussi je sollicite votre bonté pour le garder une journée supplémentaire afin qu'il puisse se joindre à mon escorte lui aussi."

La Mère Supérieure garda le silence un moment puis acquiesça.

"Accordé."

Les trois Soeurs quittèrent le bureau.

"Soeur Jennane ?
- Ma mère ?
- Je vous confie les préparatifs de la Cérémonie de Contrition.
- Bien ma Mère."