Cité d'Halarahh

Sujet: Re: Cité d'Halarahh Ven 20 Jan 2017 - 12:59

"Ah ouais ... çà détend grave ... voilà ... c'est çà ki m'fallait !

Tu sais que quand t'es stone, ton accent orc revient ?

Ah ouais ? .... j'avio jamais fait gaffe ! K'est-ce ke çà fait ? ..... Arf arf arf .... ah ouais en effet ... d'akkord je vois !"

Sujet: Re: Cité d'Halarahh Ven 20 Jan 2017 - 13:04

"J'aime bien ton accent Ork... C'est plus féroce, et en accord avec ta bouche..."

Il vida un nouveau verre, ils avaient perdu le compte des verres et des narguilés (ou pipes). Wilbur tendit le bras pour appeler une serveuse, tendit aussi une jambe pour se redresser et fit du coup trébucher la serveuse. Celle-ci s'écroula sur Grizelda qui relâchait une bouffée de fumée. Leurs regards se croisèrent.

Sujet: Re: Cité d'Halarahh Ven 20 Jan 2017 - 14:36

"Pouuuuuurpffff !!! Euh s'kusez ! Oulà t'es flou toi ! J'suis pas un canapé moi ! Y'a kékun ici ! Qu'est-ce tu fais sur moi toi ?"

Ses mains sur les hanches de la serveuse pour pas qu'elle roule par terre, Grizelda essayait de la regarder dans les yeux mais tout était flou.

Sujet: Re: Cité d'Halarahh Ven 20 Jan 2017 - 14:45

Les mains de Grizelda posées sur les hanches de la serveuse tiraient un peu sur sa robe et moulaient ses fesses sous le regard intéressé de Wilbur.

La serveuse sourit à Grizelda, s'alanguit contre elle et posa une main fraîche sur sa joue.

"Ne t'en fais pas ma chérie, je ne tomberai pas. En fait de canapé il y a sacrément plus confortable. Tu veux que je te montre ? Ca ne coûte vraiment pas grand chose..."

Sujet: Re: Cité d'Halarahh Ven 20 Jan 2017 - 14:54

"Ah ouais ? euh .... P't'être !"

Grizelda partit dans un fou rire en tirant une nouvelle bouffée de narguilé.

Sujet: Re: Cité d'Halarahh Ven 20 Jan 2017 - 15:02

La fille ouvrit la bouche et embrassa Grizelda, enfermant la fumée expulsée dans leur baiser.

Sujet: Re: Cité d'Halarahh Mar 24 Jan 2017 - 13:37

Grizelda la laissa faire, lui empoignant la fesse à pleine main en jetant un regard amusé en direction de Wilbur.

Sujet: Re: Cité d'Halarahh Mar 24 Jan 2017 - 13:44

Le regard que Wilbur lui rendit était lui aussi amusé. Et excité. Les fesses sous les mains griffues étaient moulées à l'extrême et le regard de l'homme oscillait entre elles et les yeux de Grizelda.

L'Orkesse était parfaitement consciente que le seul tissu qui habillait l'hôtesse était sous ses mains. La langue de la femme s'engouffra dans sa bouche et elle se pressa plus fort contre elle avec un léger gémissement lascif.

Elle semblait déterminée à gagner de l'argent sur son dos ce soir...

Sujet: Re: Cité d'Halarahh Mar 24 Jan 2017 - 16:52

Histoire de faire plaisir à Wilbur, Grizelda commença doucement à retrousser la robe de l'hôtesse pour lui agripper les fesses à même la peau. Au moins comme çà, il aurait une belle vue.

Sujet: Re: Cité d'Halarahh Mer 25 Jan 2017 - 9:51

Le désir grandit dans le regard du Capitaine. Ainsi visiblement que dans son pantalon.

La fille gémit à nouveau, accentua la pression de son bassin sur la cuisse de Grizelda. Sa langue se fit plus intrusive, sa main attrapa la chevelure de sa proie pour récolter toute son attention.

L’autre main glissa le long de la robe de Grizelda, dégagea l’épaule puis le sein et commença à le caresser et à agacer le téton.

Très émoustillé, Wilbur resta spectateur des deux femmes. Le moment n’était pas venu de les rejoindre…

Sujet: Re: Cité d'Halarahh Mer 25 Jan 2017 - 14:21

"Et il est où donc l'endroit où tu voulais nous emmener ? on peut faire le voyage avec mon pote ?"

Sujet: Re: Cité d'Halarahh Mer 25 Jan 2017 - 14:29

"Où tu veux chérie. Ici ou dans un endroit plus discret. Ton ami est le bienvenu."

L'hôtesse avait néanmoins bien compris le désir d'intimité (tout était relatif) de Grizelda. Elle se redressa d'un mouvement lascif et ouvertement provocateur et se dirigea vers l'arrière salle de la fumerie, leur faisant du doigt signe de la suivre.

Ils se relevèrent tant bien que mal - le sol n'était pas droit dans cette foutue baraque ! - et titubèrent à sa suite.

Ils la retrouvèrent dans une chambre à l'ambiance tamisée, lumière tamisée et grand lit couvert de soieries et de fourrures.

Tandis que Wilbur fermait la porte, l'hôtesse se retourna et se coula contre Grizelda. Ses mains écartèrent les bretelles de la robe de l'Orkesse et celle-ci tomba d'une pièce au sol. Les mains de la femme s'agrippèrent aux fesses fermes. Sa bouche s'approcha à quelques millimètres et elle lui souffla de son haleine légèrement parfumée et avinée.

"Où en étions-nous ?"

Avant de lui lécher la lèvre supérieure...

Sujet: Re: Cité d'Halarahh Lun 30 Jan 2017 - 10:41

A son tour Grizelda lui empoigna les fesses.

"Là il me semble !"

Elle l'embrassa à pleine bouche.

Sujet: Re: Cité d'Halarahh Lun 30 Jan 2017 - 11:01

La femme répondit avec langueur, laissant l’initiative à la fougueuse Grizelda. Elle se cambra pour que la prise sur ses fesses soit plus entière et glissa une cuisse entre celles de l’Orkesse, remontant sa jambe jusqu’à son sexe et l’y frottant légèrement.

Elle s’empara d’un des seins de Grizelda et commença à le malaxer et à titiller le téton déjà bien dressé. De l’autre main, elle insinua délicatement un doigt entre les fesses musclées.

Emoustillé, Wilbur regardait les deux femmes avec un désir de plus en plus puissant. Il se déshabilla en un tournemain mais s’assit dans un fauteuil qui donnait une vue parfaite sur toute la chambre. Il commença à se masturber légèrement en profitant du spectacle. Son heure n’était pas encore venue…

A son tour, Grizelda ôta la robe de l'hôtesse. Elle lui fit une queue de cheval avec sa main et resserra fermement à la base de la nuque. La tenant par les cheveux, elle attira doucement sa tête en arrière et commença à lui embrasser le cou.

L'orkesse glissa doucement son autre main entre les fesses de la femme.

La belle hôtesse se laissa aller. Son corps délié se détendit, sous sa main, Grizelda sentit les fesses se relâcher, lui facilitant le mouvement.

.

Les mains de l’hôtesse montèrent le long des épaules de sa partenaire, glissèrent sur sa nuque, son crâne.

.

Un long soupir s’échappa de ses lèvres. Elle poussa délicatement Grizelda à descendre le long de son corps, soulevant un sein plein et pâle au téton dressé violacé.

Grizelda descendit donc doucement, dévorant de baisers son cou, sa poitrine, son ventre ... Elle descendit encore doucement pour aller se placer à genoux.

La jeune femme était prête et ses fluides glissèrent délicatement sur la langue de l’Orkesse. Elle soupira d’aise en levant une jambe et la posant sur son épaule. De ses mains, elle caressait et agaçait ses seins voluptueux, un regard de braise oscillant entre Grizelda et Wilbur.

.

La mercenaire entendit d’ailleurs l’homme hoqueter puis commenter.

.

« Ah ouiii continuez les filles, continuez encore un peu… »

.

Le regard de Grizelda remonta sur l’hôtesse. Celle-ci ouvrit la bouche et un filet de bave en coula directement dans la sienne. Elle avait bien visé.

.

« Oh merde ! »

.

Derrière elles, Wilbur semblait avoir du mal à rester à l’écart…

Les doigts de Grizelda jouèrent à toute vitesse. Elle déglutit et regarda Wilbur ...

"Bon alors ? tu viens participer ou tu comptes les fraises ?"

« Je profite du spectacle… »

Grizelda entendit Wilbur se lever tandis que sous sa langue et ses doigts le bassin de l’hôtesse montrait des signes de plaisir imminent. La jambe sur son épaule ballottait doucement tandis que le genou de celle qui la maintenait debout montrait des signes de faiblesse.

Soudain, un sexe dressé, dans une forme olympique, apparut dans son champ de vision. Wilbur se colla contre le flanc de l’hôtesse, attrapa son visage et l’embrassa goulument.

Une fraction de seconde, Grizelda se demanda que faire : s’occuper de son ami ou finir l’hôtesse ? La décision était une évidence en fait…

Pourquoi choisir ...

Elle glissa profondément plusieurs doigts dans l'intimité de l'hôtesse et pistonna à vive allure tandis qu'elle prenait Wilbur en bouche.

L'hôtesse s'appuya soudain sur son épaule tandis que le plaisir déferlait en elle.

Excité comme il l'était, Wilbur poussa un grognement sourd dans la bouche de sa partenaire et jouit violemment dans celle de l'Orkesse.

Surprise par le manque de résistance de Wilbur et l'abondance de sa semence, elle manqua s'étouffer, recrachant une partie qui s'écoula sur son menton pour s'écraser sur sa plantureuse poitrine.

Puisque Wilbur avait déjà déchargé, Grizelda reporta son attention sur l'hôtesse et remit sa langue en elle. Elle empoigna la virilité de Wilbur et entreprit de le remettre en forme.

Il restait bien en forme sous sa poigne ferme, il était apparemment trop excité, ou alors c'était sa fumette qui le maintenait. Toujours était-il qu'il restait raide comme la justice tandis que le reste de semence contenu dans sa verge s'écoulait sur la main de Grizelda.

L'hôtesse soupira lascivement en pressant son pubis sur la bouche aventureuse. Elle poussa la tête de Wilbur vers ses seins.

L'homme ne se fit pas prier et en profita pour immiscer un doigt intrusif entre les fesses de la belle, rencontrant là ceux de Grizelda.

La femme gémit sourdement tandis qu'ils trouvaient tous trois leur place au sein de son fondement.

L'orgie à 3 continua encore un bon moment ...

Lorsque Wilbur et Grizelda emergèrent des vappes où ils s'étaient plongés, ils étaient affalés dans les coussins, seuls tous les deux, la bourse prélevée du montant de la prestation de l'hôtesse. Ils étaient fourbus comme s'ils avaient couru un marathon.

"Aaaaaaaaaaaaaaah ouais en effet !!"

« Je te l’avait dit que ça valait le coup cet endroit. »

Eclaté sur le lit, le corps couvert de semence et des fluides de ses partenaires, Wilbur nageait dans un océan de félicité proche de l’extase. Son sexe avait retrouvé son apparence tranquille et sage, recroquevillé d’avoir trop servi.

« Je suis vidé. De plusieurs façons, c’est le cas de le dire. Oooooh ! Va falloir rentrer maintenant… »

Il se releva en titubant légèrement avant de reprendre contenance et de passer son pantalon. Un regard sur le corps alangui et, tout comme lui, couvert de fluides et de semence (sauf que cette dernière ne la couvrait pas mais s’écoulait d’elle) de sa partenaire éveilla son appétit, mais son ventre ne répondit pas.

« Tellement vidé que je ne pourrais même pas te faire un dernier hommage avant qu’on rentre. Pourtant tu le mérites bien… »

Il lui lança un regard égrillard.

« Tu veux que je t’engage un hôte ? »

"Euh non merci ... moi aussi çà va aller ...

Le temps de me remettre de tout çà, de retrouver mes affaires dans tout ce foutoir et de les enfiler et je rentrerais aussi !

Faut que je sois ponctuelle au boulot demain matin !"

"Ah oui, sinon ton Capitaine va te punir..."

Il rit de bon coeur.

"T'inquiète, j'ai les bourses à sec et c'est pas dans trois heures que ça sera redevenu une crampe à soulager. Mais partis comme on est là, on va finir la nuit en bas tranquilou puis on ira directement bosser. Le temps de rentrer, de se laver, se taper au lit et il sera déjà presque temps de se lever à nouveau..."

Il la regarda en se tenant à une étagère.

"Ou on reprend un p'tit ici, parce que je ne suis pas sûr de descendre les marches correctement là maintenant. Et à voir comment tu bouges, tu vas plus vite dégringoler que descendre. Allez, reste encore un peu comme ça, que je finisse de me rincer l'oeil..."

"Ah ben oui bien sûr fait comme çà ..."

Elle éclata de rire. Elle attendit effectivement de pouvoir se lever correctement et commença à fouiller sous les coussins éparpillés à la recherche de sa tenue.

Il la regarda un long moment, parfois se caressant lentement la verge en lui souriant.

Quand elle se releva et commença à fouiller, son désir reprit vie devant son intimité si impudiquement dévoilée tandis qu'elle se penchait pour fouiller derrière les coussins.

Tout d'un coup, il fut derrière elle, puis en elle.

"Tout compte fait, tu as le choix de voir ça de deux façons différentes ma belle : vu qu'on sera en retard, tu reçois ta punition maintenant, ou tu reçois le dernier hommage d'un homme qui a décidé de parachever la soirée en apothéose. Qu'est ce que tu préfères ?"

"Hééé !

Non mais didonc, c'est de la triche çà ! T'as déjà remis tes frusques, moi faut encore que je retrouve les miennes !

J'ai bien l'intention de ne pas être encore en retard ce matin moi ... alors disons que je choisis plutôt le dernier hommage d'une apothéose !"

"De la triche, de la triche... Mon pantalon est retrouvé, mais t'es vraiment loin si t'as pas vu que j' l'avais déjà retiré et que je me tripotais en te regardant... C'était qu'une question de minutes ma belle..."

Un coup de boutoir plus puissant jeta Grizelda à quatre pattes sur les coussins.

"Oui de la triche, parce que même enlevé, tu l'as sous la main !"

Elle se laissa faire en appréciant ce dernier round.

Il la retourna souplement, lui releva les jambes et les coinça contre son torse, dans l'écrin de ses bras. Il se pencha sur elle pour venir entre elles chercher sa bouche. Sa présence en elle atteignait une profondeur maximale, il buta au fond de son ventre.

Ses coups de reins étaient souples et menés à l'extrême, elle pouvait sentir ses muscles jouer contre l'arrière de ses cuisses tandis qu'il goûtait sa bouche avec affection.

Grizelda soupira d'aise en profitant au maximum. Elle l'embrassa fougueusement.

"Le patron va nous souffler dans les bronches si on déserte encore !"

"Où tu vois qu'on déserte toi ? Il est encore tôt, il fait toujours nuit. Et puis tu pourrais te concentrer sur ce qu'on fait dis ?"

"Oui je sais qu'il fait toujours nuit, mais je me méfie avec toi chef ! Tu t'emportes, tu t'emportes ... et tu ne vois pas le temps passer !

Et puis je suis tout à fait concentrée à ce qu'on fait j'te signale ! J'te sens même très bien là ! Plus, çà ne serait pas raisonnable ! T'es déjà au fond j'te signale chef !"

Il sourit.

"C'est ça, t'as raison, fais-moi de la lèche. Faux-cul va !"

Il avait atteint un rythme de métronome et elle sentait tout doucement monter une tension si familière ce soir au sein de son ventre. Mais il n'était quant à lui pas près de la délivrance. Normal en même temps, il avait déjà pas mal joui et donc ça lui prenait plus de temps.

Contrairement aux femmes qui peuvent plus rapidement et plus souvent.

Encore une marque de la supériorité de la femme sur l'homme...

Elle se mit à rire.

"T'adores çà quand je te fais de la lèche, non ?

Et puis mon cul va très bien, merci !"

Elle bascula la tête en arrière, le plaisir montait à grande vitesse.

"J'adore plein de choses chez toi. La lèche, vraiment beaucoup, c'est vrai, mais ton corps, ton ardeur, ta bouche, ta sauvagerie, ton expérience, l'originalité de nos ébats..."

L'orgasme la ravagea et elle ne put entendre la fin de la phrase. Alors qu'elle tressautait encore, Wilbur changea d'orifice sans changer de position et s'inséra avec une facilité aussi grande que pour son ventre. Le ventre de l'Orkesse avait reçu tellement que lorsqu'il le quitta semence et cyprine s'échappèrent pour couler lentement le long de son ventre jusqu'à se perdre dans son nombril.

Il fixa son regard dans celui, vague et ivre de plaisir, de sa partenaire.

Grizelda le laissa faire à son idée, il connaissait son affaire. C'est vrai que c'était un bon coup, et en plus ce qui ne gâche rien, pas trop chiant comme supérieur hyérarchique, Lex avait eu du nez en l'engageant.

Wilbur s’occupa encore un bon moment de sa partenaire, jouant de ses onze doigts pour lui procurer une plaisir intense à plusieurs reprises avant, enfin, de terminer en apothéose au fond de sa gorge (il fallait quand même bien qu’elle ait un peu participé à cette dernière joute).

Ils rentrèrent finalement à l’heure, mais ils étaient courbaturés comme rarement, marchant un peu en crabe. La journée passa dans une semi brume induite de leurs ébats et de leur nuit blanche. Il était clair pour Lex qu’il ne fallait pas leur demander grand-chose cette journée et ça lui convenait.

Il profita lui aussi de la journée pour la passer, endeuillé, avec sa famille.

En fin d'après midi, fatiguée mais remise de ses émotions, Grizelda alla jusqu'aux appartements de son patron. Elle toqua à la porte du bureau de Lex.

"Euh patron ? T'es là ? J'peux entrer ? Je voulais juste savoir comment tu allais ?"

Une voix lasse mais ferme lui répondit.

« Entre Griz’. Ca fait plaisir de te voir… »

Elle entra et referma la porte.

"Bonjour, puis-je demander comment tu vas patron ?"

Elle semblait sincèrement inquiète.

Lex était attablé à son bureau, une masse de paperasse devant lui.
Au vu de sa tête, il n'avait pas beaucoup dormi.
Au vu de ma paperasse, c'étaient les documents qu'elle lui avait ramenés des temples.
Il n'avait pas l'air content.

"Je vais comme on peut aller quand on perd un ami de si longue date dans de telles circonstances Griz'. Ce qui me console c'est qu'il est parti dans son sommeil. Mais il va ma manquer. Tu sais bien par quoi on est passés tous les deux, alors, même si les gens diront que ce n'était qu'un sanglier nain, pour moi, c'était un ami, bien plus que beaucoup d'hommes ou de femmes autour de moi."

"Oui je le sais ! Il a même agi plusieurs fois comme un vrai garde du corps, pas comme un animal !"

Elle ne savait comment le consoler. Il allait avoir du mal à s'en relever. Et rien qu'à penser à tous ces clercs qui attendaient les réponses de Lex. Ah çà n'était pas le moment !

Il hocha la tête.

"Oui, c'était bien plus pour moi que pratiquement tous ceux que je connais. Ne le prends pas pour toi Griz'. Tu es dans les exceptions."

Il eut un pauvre sourire.

"Mais tu le sais déjà, sinon, je ne t'aurais pas demandé de m'épouser. Dommage que tu aies un problème avec les épouses multiples. Et dommage que tu ne m'aies pas connu... Tu aurais peut-être changé d'avis..."

Il se secoue, regarda la paperasse.

"Je m'égare... Ils sont au courant qu'un deuil me frappe ces tas de cons ou quoi ? Qu'est-ce qu'ils ont tous à essayer de m'embobiner avec leurs contrats pourris d'arnaqueurs foireux ? Hein ? Dis ?

Rhaaaaa ! j'ai besoin d'un verre. Tu veux bien nous servir ? Il est évident que je ne bois pas seul..."

"Bien sûr Patron !

Mon bras est à louer, mon cul est à moi ... et mon doigt reste libre ...

Oui, moi aussi je me suis dit que leurs contrats étaient foireux ... tous les mêmes on aurait dit !

Pas de soucis !"

Elle se dirigea vers le mini-bar et servit deux verres. Elle revint et tendit l'un des deux à Lex.

"Joliment dit Griz'. Mais comme je disais, si le second m'avait connu, tu aurais peut-être accepté de m'offrir le troisième. Allez, on va boire à ton dicton."

Lex s'enfila le verre cul-sec et le rendit à Griz' pour une nouvelle rasade.

"Pareil pour toi hein. Ne me laisse pas kusser tout seul...

Bon ces emmerdeurs de cul-terreux... Qu'est-ce que je vais bien pouvoir leu répondre moi ? Comment tourner ça sans qu'ils ne tournent casaque ? Tas pas une idée des fois ?"

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